Bilan

bientôt 17 ans, des rires des pleurs beaucoup des deux, peut-être trop de larmes, parfois de joie souvent de tristesse.


aujourd'hui samedi,
Tu parraissais si fière sur ta moto, une clope au bec , et moi derriére te serrant la taille. Tu te sentais puissant, tu te sentais confiant. Tu as du la répéter cette phrase tout seul devant le miroir de ton salon trois fois trop grand ,où tu dînes toujours seuls . Tu m'as emmené voire la tpu eiffel on c'est moqué des touristes , tu m'a offert une galce, je l'ai donnée à ce mime qui m'a un peu fait penser à moi, il m'a sourit, moi aussi. Tu voulais m'emener ailleurs je t'ai suivi, le vent dans mescheveux, le cuir de ton blouson sur ma joue, cette odeur qui me rapelle la sienne , ça m'a donné envie de pleurer, j'ai resséré mon entreinte autour de ta taille, tu t'es sentis plus forts.
Tu me dis qu'on est arrivé je descend, tu tires ma manche je coures derrière toi ,en faisant semblant d'être impatiente , par ce que tu es gentil et que j'ai envie de rentrer me coucher au plus vite. Je sourie, je pleure je ries, je me jette à ton coup et tous ça sans tricher, pour de vraie.
Le skate Park, tu t'es rappelé qu'aujourd'hui ça faisait 3 ans qu'il m'avait laissé, que la drogue me l'avait volé.
Si seulement tu n'avais rien dis , mais tu l'a fait tu l'as crié... "Je t'aime Marie".
Je t'ai regarder en souriant , tu t'es aproché, j'ai murmuré "pauvre con". Ton regard c'est durcit ,tes poing serré, tes yeux perlé, j'ai ris devant ta rage, de ce rire crystallin que tu aimais temps entendre.

J'ai pris ta bécane et je suis partis.

F***

Je forme une rigole salée le long de sa joue, pour mourire sur le béton. je porte en moi tu ce qu'elle n'a pas su dire , tous ce qu'elle a peur de dire. la peur d'être toucher, la peur de toucher.
Cette peur qui ne veux pas la quitter, la laisser vivre être comme les autres.
Je porte en moi ses espoirs, ses rêves .
Elle souhaite pourtant une chose simple, un contact tendre. Mais cela elle est incapable de le donner ou de le recevoir.
J'ai ressentie la puissance de la haine qu'elle se porte, et malgrès le chemin que j'ai parcourue sur sa joue je ne l'ai pas soulagé, mais accablée un peu plus.

Envie de faire sa fête à la musique...

retour au source

Ha cela fait maintenat deux ans que je ne t'ai pas revu, j'avais décidé de faire un break. Mais tu me manquais trop. L'appart est maintenat habité , obligé d'aller à l'hotel, voyons le côté positif quelqu'un fera le ménage à ma place, j'aurais donc plus de temps pour retrouver mes repères, et flaner en toi.

Paris...

la flemme d'en trouver un ...

Un jour je ferai du cinoche, juste pour moi.

Célébrité? Pour finir drogué, dépressif, catalogué, crtiqué...

Non merci, mes travauxlorsque vous les verrez jamais ne saurais que je me cache derrière eux.

Entre vous et moi ce sera une histoire d'amour, mon film sur le grand écran blanc, vous sur les sièges rouges, et moi, quelque par dans la salle entrain devous observer. Vous sourires, vos éclats de rires, vos pleurs devant mes films seront la plus belle des récompensesque, la seule qui est une réelle valeur.

Il est toujours agréable ,et flatteur d'être reconnue par ses pairs, mais sans le publics, sans son aprobation , ces mêmes pairs n'auraient pas lieu d'être.